L\'orphelinarium
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L\'orphelinarium

15 ans après la première guerre entre Athen et Babylonia, 10 ans après la libération des orphelins, la revanche des rebelles, L'Orphelinarium revoit le jour...
 
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MessageSujet: Les présentations   Les présentations EmptyVen 24 Avr - 9:07

[Vous voilà fin prêt à vous présenter. Tout en suivant le canevas de présentation, et en sachant être un personnage au rang libre dans les postes vacant, vous pouvez faire votre présentation ici. Rien d'autre qu'un message d'acceptation par présentation et des présentation ne seront toléré. Les bienvenues et les mises au point se feront pas MP pour plus de propreté et de compréhension. ]
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Maria
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Maria


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MessageSujet: Re: Les présentations   Les présentations EmptyVen 24 Avr - 20:27

je tiens a dire que ceci n,est en aucun cas final et que j'éditerais quand j'aurais le temps!

Prénom : Maria
Nom : Lamarck
Âge: 23 ans
Sexe: féminin
Statut* : Ancienne Orpheline athienne
Fonction* : eum... subalterne de Luna? enfin peu importe...

Histoire* : Quand j'étais jeune, j'avais une belle vie, ma famille était sensiblement prospère, j'avais des amis, et puis boum! Mon père est parti a la guerre, et ma mère et moi on désespèrai


Description physique* : On pourrais me dire belle, j'imagine, mais personne ne s'atarde a me regarder très longtemps depuis que j'ai arrêté de me teindre les cheveux en rose...
Description Psychologique* : On pourrais me dire dépressive, teriblement seule, coupable mais toutefois indifférente... c'est tout je crois
Autre :

Passe-temps :
Liens familiaux :
Liens amoureux :
Rêve :
Défauts :
Qualités :
Autre : Okay


Dernière édition par Maria le Lun 27 Avr - 10:19, édité 5 fois
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Essaime
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Essaime


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MessageSujet: Re: Les présentations   Les présentations EmptyVen 24 Avr - 20:32

Prénom* :Essaime Mathew
Nom : Golderick
Âge* : 26 ans
Sexe* : Masculin
Statut* : Rebel
Fonction* : simple rebel(j'ai pas le goût d'être maitre)

Histoire* : Eh bien, quand nous avons quittés l'orphelina, je suis parti en direction de l'antre avec satina, amina, thomas, amalie et bien d'autre personne, satina est malheureusement morte pendant la bataille et j'ai donc continué seul avec le reste des enfants. Amalie est elle aussi morte d'une explosion et je me suis retrouvé seul avec tous les orphelins. Au départ, nous étions une centaine, à la fin juste 3. Plusieurs ont été recapturés par les soldats et les autres, tous mort. Amina, Thomas et moi-même, nous sommes rendu seuls à l'antre après quelques jours de marche. Comme vous avez pu le constater, Luna n'est pas venu avec moi, elle est tombé du côté du mal et a essayé de me tuer moi et mes amis. Durant cette bataille, j'ai aussi perdu mon frère qui a crashé dans l'avion d'un de ses amis avec le frère de celui-ci. Sa mort m'a complètement fait changer et je suis devenu plus responsable. Par la suite, je suis devenu l'un des leurs. J'ai parfaitement été entrainé et maintenant je suis un rebel. Maintenant rendu à 26, je vis seul mais j'aide quand même ma belle-soeur ashe et mon neveu Nicholas. Durant ces 10 années, je n'aurai pas revu luna ni mon meilleur ami, alex. Je me suis fait de nouveaux amis et, je continu de garder un oeil sur Thomas et Amina comme me l'avait demandé sa soeur(satina) à sa mort.

Description physique* : Eh bien Essaime est grand, yeux bleu et cheveux blond. Il est fort comme tout rebel. Je n'ai pas grand chose à dire sur lui puisque la plus part vous le connaissez.

Description Psychologique* : Essaime est beaucoup plus intélligent qu'il ne l'était et il est beaucoup plus responsable. Maintenant qu'il s'est fait briser le coeur par luna, il ne pense qu'à changer complètement de vie et la laisser derrière elle mais il n'est pas capable de complètement l'oublier.

Autre : bah je suis tonton!!!!

Passe-temps : S'entrainer et passer du temps avec son neveu

Liens familiaux :bof son frère est mort

Liens amoureux : Il n'en n'a pas pour l'instant.

Rêve : Une vie pleine de bonheure

Défauts : Il veut parfois trop se venger de luna qu'il perd la boule lord de ses entrainements hors des entrainements aucune chance qu'il ne fasse de mal à quelqu'un sauf en cas d'urgence.

Qualités : Il s'occupe très bien de Nicholas et il est très gentil avec tout le monde.
Autre : Okay


Dernière édition par Essaime le Lun 28 Sep - 20:11, édité 3 fois
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MessageSujet: Re: Les présentations   Les présentations EmptyVen 24 Avr - 23:16

Essaime : Accepté


Bienvenue !


Dernière édition par Admin le Mer 6 Mai - 22:03, édité 1 fois
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Laurea
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MessageSujet: Re: Les présentations   Les présentations EmptySam 25 Avr - 0:04

Personnage prédéfinis* : Non

Prénom* :
Laurea

Nom :
Morighan

Âge* :
22 ans

Sexe* :
féminin

Statut* :
Athienne

Fonction* :
Ancien Orphelin

Histoire* :

Il était une fois, dans un immense château de pierre et de verre, une belle princesse aux yeux d'émeraude. Celle-ci ne vivait de rien, et ne vivait pour rien. En fait, elle était très malheureuse. Ses parents, le roi et la reine de Morighan, étaient morts lors d'une grande guerre qui n'avait laissée comme survivants, qu'elle. Elle était alors seule dans sa bulle-monde à regarder sans joie les jours défiler devant ses yeux étincelants.

La belle princesse avait un trésor, et un immense secret. Son trésor était en fait un cahier, où elle écrivait jours et nuits ses peines et ses malheurs, assise dans un coin de son immense cour. Elle y trainait souvent. Accompagné de sa meilleure amie, une deuxième petite survivante. C'était la seule qui existait, avec elle. La petite princesse entendait bien souvent des voix la rappelant à l'ordre, ou des mots venant de nul part, sortant de la bouche de personnes qu'elle ne voyait pas derrière le bouillard qu'était sa vie.

Mais un jour grisâtre où l'on ne pouvait distinguer que le vert éclatant de ses iris à travers la grande cour aussi terne que le ciel, elle écrivait doucement comme à son habitude quand deux diamants apparurent sous ses yeux. Deux saphirs bleu comme le ciel et aussi scintillant que les étoiles. À force de regarder ses deux perles qui roulaient en suspension sous elle, une silhouette finis par se dessiner autour. Une deuxième personne prenait forme et entrait dans son monde si fermé et clos.

C'était un imposant jeune homme aux yeux d'une magnificence sidérante. Il était fort, brave et paraissait n'avoir peur de rien. C'était le Prince d'un l'autre royaume. Bien vite, la Princesse tomba follement amoureuse de se séduisant prince, si beau et mystérieux. Mais le temps en si bonne compagnie passa d'une rapidité hallucinante.

Bien vite, grâce au Prince et à son amie, la Princesse réussi à ouvrir un peu plus ses si grands et verts yeux. Elle voyait à présent toutes les subtilités et tous les gens qui déambulaient dans son château de pierre et de fer sans même qu'elle ne s'en rende compte. Mais un beau jour où le soleil brillait beaucoup trop pour les circonstances, le Prince du s'en retourner dans son royaume. Mais même s'il pria la princesse par tous les dieux de l'accompagner, de venir avec lui, de le suivre jusqu'à son château à lui, la Princesse ne fit riens. Bien que la séparation lui semblait des plus douloureuse, elle ne pouvait pas laisser ainsi son propre royaume. Elle devait y régner comme il se devait. Alors la Princesse du regarder son Prince partir au loin, ses yeux verts inondés.

Les semaines qui s'en suivirent devinrent encore plus sombre qu'elles ne l'avaient été avant l'arrivé du Prince. La Princesse ne voyait plus personne, n'entendait plus rien, et ne voulait que voir les mots qui filaient sur les lignes de son cahier. Des jours, des semaines, peut-être une lune complète s'écoula avant que la Princesse ne se décide à abandonner son royaume. De toute façon elle ne le voyait plus. Elle retourna donc au près de son Prince.

Seulement, après avoir fendue un foule de danger, bravée les conditions et le climat dur des terres à traverser, la Princesse parvint au royaume de son prince, mais n'y trouva pas sa douce moitié. Enfin, le Prince y était mais... Il n'était plus le même. Il l'avait laissé. Un homme étant un homme il n'avait pu assouvir sa passion qu'en tombant amoureux de quelqu'un d'autre. D'un autre Prince.

La scène rendit la Princesse aux yeux d'émeraude encore plus triste et la plongea dans une torpeur encore pire qu'avant. Elle ne vit même pas la guerre passé tellement elle était lasse. Quelques prétendant lui passèrent sous le nez sans qu'elle ne leurs accordes plus qu'un regard mais aucun ne pu jamais capter son attention comme les deux diamants d'azur l'avait fait autrefois. Ses yeux verts à présent clos pour ne pas voir le monde autour d'elle, le temps passa et elle ne le vit pas.

***


Dix ans plus tard, alors que le monde c'est retransformé, la jolie princesse c'est enfin décidée à ouvrir un œil, et à découvrir que tout avait changé. Le deuxième amour de son Prince était parti au loin, ses amis étaient tous morts, et sa seule véritable amitié du temps où elle était dans son château était devenue l'alliée de l'ennemie des Royaume, la demi-sœur elle-même du Prince aux yeux de ciel.

Mais voilà que la Princesse reprend des couleurs, et reprend vie. Elle sèche ses pleurs et comprend l'amour d'une manière beaucoup plus froide. Maintenant que les yeux d'azur du Prince son aveugle, et qu'elle sait que son royaume est tombé, elle voit qu'en fait, son château de pierre était une prison auquel il l'aura délivré.

Description physique* :

Laurea porte ses cheveux fins, long et foncés, à une longueur respectable. Bien que ses traits se soient paufinés, affinés, elle n'en reste pas moins une très belle jeune fille au regard encore plus vert que jamais.

Description Psychologique* :

Sans trop de rancune, elle a retrouvé un semblant de vie normale. Elle ne croit plus à l'amour et ne se fait pas de faux espoirs. Sa pensée présente est tout de même beaucoup plus froide et dur envers les sentiments de son coeur et elle arbore des airs typiquement Morhigan.

Autre :

Laurea : dérivé latin du mot Laurus, ou Laurier en français. Une feuille portée en couronne par les plus puissants empreurs que ce monde ait connu. Le Laurier, encore et toujours est un symbole de force, de gloire et de victoire.

Morighan : dérivé celte du nom Morigan, la déesse de la guerre et de la chasse. Morigan était une femme froide et sanglante qui accedait à la victoire en tout temps. Sur les champs de bataille, elle causait le masacre et faisait couler du sang, mais menait ses armées à la réussite.

Passe-temps :
Fidèle à elle-même, Laurea ne s'est toujours pas départie de son cahier où elle écrit toujours et encore. Bien sûr, maintenant la cité reconstruite elle se donne corps et âme à son bon développement afin d'occuper le plus possible sa pensée.

Liens familiaux :
Elle a toujours Thomas, son petit frère maintenant âgé de 19 ans, qu'elle chérit toujours autant. Puis Alexandre, qu'elle ose encore considérer comme son cousin même si elle connait à présent le lourd secret de sa naissance.

Liens amoureux :
Il est évident que son coeur bat toujours pour Alex, mais dix ans ont passé et elle ne se fait plus d'idée, son coeur comme son esprit on mûrit et plus aucun tendre sentiment ne passe le filet qu'est son âme.

Défauts :
Sans trop s'en rendre compte, elle a lentement glisser vers un comportement complètement différent. À présent qu'elle a trouvé un meilleurs anastésian que le sommeil ou la torpeur somnambuliste, Laurea est à présent froide, distante, indiférente et seche, envers certaines personnes en particulier...

Qualités :
Elle n'aurait pas pu changer du tout au tout. Bien qu'elle soit de marbre avec une certaine quantité de rebelles, elle adore encore les enfants et les gens honnêtes et souriant à qui elle peut ressembler énormément. Honnête et souriante. Toujours très douce et délicate, elle prouve à présent un certaine force physique et un morale à toute épreuve.

Autre :
Okay


Dernière édition par Laurea le Sam 25 Avr - 9:04, édité 1 fois
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MessageSujet: Re: Les présentations   Les présentations EmptySam 25 Avr - 0:27

Bienvenue Laurea!
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Luna
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MessageSujet: Re: Les présentations   Les présentations EmptySam 25 Avr - 10:07

Personnage prédéfinis* :
Non

Prénom* :
Luna

Nom :
Autrefois Vandir. Nom de sa prétendu mère. Mais maintenant, c'est Mclaow !

Âge* :
23 ans

Sexe* :
Féminin

Statut* :
Babylonoise.

Fonction* :
Présidente Babylonoise

Histoire* :
Je n'aurais jamais pensé qu'une simple personne est pu me faire changer autant. Me mettre de nouveaux objectifs en tête. Jamais. Jamais je n'aurais voulu cela. Mais pourtant, c'est arrivé. Ma mère. Ma vraie mère est entrer dans le paysage qu'on appelle communément une vie. Elle a fait renaitre ce que j'essayais d'étouffer du mieux que je pouvais. Mon côté noir. Mon côté ombreux. Mon côté que je ne voulait plus montrer. Je ne voulait pas ressembler à mes parents. Mes deux horribles parents. L'ancien Président Babylonois et la directrice de l'orphelinat maintenant réduit en cendre : Lady Kariana Mclaow. Simplement en prononçant son nom, mes machoires se crispent et mes poings se serrent.

J'écris en ce moment, dans une période calme de mon humeur. Ma partie que j'aime, que j'essaie de chérir. Mais il y a sans cesse ce côté ombreux qui se pointe. Un temps je hurle, je suis des plus mesquines et un autre je me regarde dans le miroir et me dégoute. Mais il y a bien une chose, une personne, un trésor qui fait sortir instantannément mon côté des plus doux. Emma...Ma chérie, mon trésor. Mon enfant...L'enfant d'Essaime. C'était notre façon de se dire adieux pour prévenir notre mort ou notre séparation. J'ai découvert que j'étais enceinte alors que j'étais seule. Des plus seules. J'avais tué mon père ainsi que ma mère, j'avais pointé le revolver sur mon amour il était donc partie. C'était la meilleure décision qu'il pouvait prendre. Alors je me retrouvais seule, enceinte et complètement déprimé. Sans oublier que j'avais, à cette époque, seulement 13 ans. Neuf mois plus tard, un enfant. Une fille. Emma. J'avais alors 14 ans.

À cette époque, je n'osais guère me regarder en face et mon côté ombreux était quelque peu assouvie par la perte d'Essaime. Je me promenais, non, je hantait les ruines de l'orphelinat. J'en avais fait ma maison. Construisant de mes bras faibles dépourvu de muscles un endroit assez douillet et chaleureux. Mes chaques gestes que je posais, chaques paroles que je disais allait à Emma et à mon Essaime que j'avais perdu. Je ne pouvais faire mieux. Dans ma tête, Essaime était loin et perdu. Mais ce n'était pas seulement dans ma tête. C'était la vérité. Alors je n'avais qu'Emma. Le centre de mon monde. Le centre de tout.

Alors que j'approchais de mes 18 ans et Emma de ses 4 ans, mon côté ombreux en avait assez de son hibernation. Il a commencé, peu à peu, à se montrer, à grandir, à prendre de la place. Je le sentais. Je le savais que mon côté doux allait partir. Mais je continuais à me battre pour continuer à être douce. Envers Emma du moins. Mais quelque jours après que j'ai eu 18 ans, tout explosa. Du moins, à l'intérieur de moi. Il avait prit toute la place. Ne laissant qu'une partie pour Emma. Rien d'autre. Alors je sortie des ruines de l'orphelina. Je recueillis des hommes. Des hommes fort. Des hommes qui seraient capable de reconstruire. Reconstruire l'orphelinat...

Après plusieurs année, ils y sont parvenue. Ils ont prient plusieurs années, à mon plus grands mécontentement, mais ils y sont parvenu. Le réfectoire, les dortoirs, mes appartements, les classes, la salle d'étude et même le trou fut reconstruit. Comme avant. Je l'avais spécifié. Comme avant. C'est alors que je suis entré, la minuscule main d'Emma dans la mienne, dans l'orphelinat. Des plans bouillonnaient déjà dans ma tête. Mais je m'occupait principalement d'Emma. Je passais la plupart de mon temps à dessiner avec elle, à aller au gymnase et à lui raconter des histoires avant de se coucher. Mais bien vite, je sentie que l'orphelinat était bien trop grand pour seulement deux personnes et quelques gardes et soldats qui étaient à mon service. Je me rappela alors de la jeune Maria. Elle devait avoir grandit elle aussi. Si je faisais le calcul, elle avait le même âge que moi. Mais elle était tellement naïve. Par un grand miracle ou peut-être pas, je la croisa. Elle vint vers l'orphelinat. Je la pris sous mon aile. Elle est maintenant ma subalterne.

Mais heureusement, Maria n'est pas un problème. Je n'ai pas le temps de penser aux gens sous mon contôle. Lors de mes temps doux, je regarde Emma en l'imaginant avec un côté ombreux comme le mien. Je ne voudrai jamais qu'elle soit comme moi. Jamais. La regarder, avec les yeux bleux océans de son père, je ne pense qu'à une chose. Du haut de ses 9 ans, elle pourrait aller à l'Antre. Il le fallait. Je savais le chemin. Ce serait le seul endroit ou elle serait hors de tout danger. Loin de l'ennemie. Moi....

Description physique* :
Mes cheveux autrefois d'un châtain clair ont maintenant pâlit. Ils sont rendu d'un blond presque de blé. Autre que cela, je n'ai rien à redire. C'est encore moi. Du moins, physiquement...

Description Psychologique* :
Comme je l'ai expliqué, j'ai un côté noir et un côté blanc. Je chérie le côté blanc et déteste le côté noir. Le plus souvent, je suis noire. C'est seulement avec Emma que je suis en permanence blanche. Je déteste ce sentiment. Je veux changer. Mais je ne peux...

Autre :
Je suis évidemment mère. Depuis neuf ans. J'adore !

Passe-temps :
Passer le plus clair de mon temps avec ma fille adorée.

Liens familiaux :
Deux parents morts, un demi-frère que j'ai tiré et une fille pour aimer.

Liens amoureux :
Encore. Encore et encore. Je persiste à aimer Essaime. Même de mon côté noir, je l'adore. Tout comme Emma, c'est ma vie. Je continue pour lui. Mais malheureusement, je ne vois pas comment il pourrait continuer à m'aimer. C'est une punition, malheureusement, bien mériter.

Défauts :
Les choses les plus noirs que vous pouvez imaginer...

Qualités :
Peu de chose. Mon côté blanc.

Autre :
Okay
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Myla

Myla


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MessageSujet: Re: Les présentations   Les présentations EmptyDim 26 Avr - 0:28

Personnage prédéfinis* :
Non

Prénom* :
Myla

Nom* :
Aëlia

Âge* :
29 ans

Sexe* :
Féminin

Statut* :
Rebelle

Fonction* :
À l'époque, elle était seconde au près de Nick. Mais elle ignore encore qu'à son retour, la place de chef sera toute prête à elle.

Histoire* :
Elle avait dix ans quand elle a rencontré Nick. Elle et Progan était dehors dans la cité, courant à perdre le souffle dans le dédale de passage au centre du marché. Les gens sifflaient à leur passage et certains bousculés les insultaient même. Mais ils ne les entendaient pas. Un derrière l'autre, les yeux grands ouverts devant eux ils allaient rejoindre leur repère.

Depuis les premières années où ils s'étaient connus, soit aussi loin que pouvait se souvenir Myla, ils avaient toujours pris l'habitude de se rejoindre dans ce coin. Loin de tous ils pouvaient tous deux se bataillés jusqu'au soir où ils rentraient, frissonnant, chacun chez lui. Utilisant surtout des batons et des épées de bois, ils se tiraillaient, jouant les chevaliers et les Jeannes d'Arc, apprenant au fil du temps, sans trop sans rendre compte, à manier ces armes grossières avec une précision exercée.

Alors cette journée où ils se dirigeaient tous deux à la vitesse de l'éclaire vers leurs cours d'entrainement de fortune, ils s'étaient fait prendre par un grand homme. Batît, fort, brave, s'il avait été plus jeune et moins rude, Myla aurait presque pu le trouver beau. Cet homme s'était dressé sur le chemin des deux enfants et les avaient durement attrapés. Il les avait emmener avec lui et les avaient laisser que lorsqu'ils furent tous rentré dans leur Antre.

Il s'appellait Nick Flemming, et il n'arrêtait pas de répèter qu'il n'aimait pas les villes. Pour Myla cela ne faisait pas beaucoup de différence; ville et campagne c'était du pareille au même, mais elle ne saisit pas immédiatement le sens des paroles de cet homme. Il les pria ensuite de poursuivre leurs joutes amicales. Ils ne comprirent pas pourquoi, mais de fil en aiguilles les deux enfants finirent par presque oublier la présence de l'homme sur leur pavés secrets.

Celui-ci les observa durant de longues heures sans paraître le moins du monde décourager par le manque de tactique de Progan et le manque de force dans le bras de Myla. Ils n'avaient que douze ans après tout...

Ça ne prit que quelques jours avant que ce Nick se prête complètement aux jeux des enfants. Il les regardait toujours de son même oeil appréciateur et concentré, paraissant toujours prendre des notes en lui même. Un jour même il invita d'autre enfants à se joindre à eux. Ils étaient cinq en tout, Myla et Progan toujours partant; Taïs, un adolescent d'à peu près 14 ans, qui se battait encore mieux que tous les trois autres réunis; Rose, une brave enfant au regard perçant et à la parole rare et précieuse, elle semblait vivre à part, et sans trop se battre elle complètait l'équipe d'une touche de bonté et de ferveur; puis il y avait Rikku, une minuscule jeune fille au corps délicat et aux cheveux de blé qui tirait les lames avec une adresse déconcertante.

Bientôt les cinq furent indésoudable. Nick, monté au rang d'idole quand une seule fois il s'était bataillé avec Taïs et lui avait fait ravalé tous ses coups, qui normalement terrassaient tout le reste de la bande, s'était entendu pour les entraîner et les faire devenir d'encore meilleurs combattants.

Les enfants ne comprenaient pas trop encore une fois, mais ils semblaient prendre un plaisir et une ardeur folle à faire ainsi croître leurs capacité prometteuses. Seulement, ils était encore tous dans la cité à ce moment. Et Nick continuait encore et toujours, et même de plus en plus, à leur parler de partir, de sortir des cités et d'aller loin. Mais appréhendant, les enfants se refusèrent à bouger.

Ce ne fut que le soir où Nick n'était pas là, parti hors d'Athen pour une mission éclaire dont ils ne savaient rien, qu'enfin ils se résolurent à faire leurs bagages. Ce soir-là, ils étaient restés tous les cinq dans la cour, chacun d'eux ne comprenant pas, le plus vieux, Taïs, leur avait fait un rapide résumé des situations politiques actuelles. Ils n'avaient rien voulut de plus, le lendemain Nick trouva ses apprentis déjà prêts pour le départ.

Enfouis dans la forêt, dans une cité interdite aux regards extérieur, ils virent ensemble le temps défiler. À 15 ans seulement, Myla n'était plus la même. Le changement avait été radicale et bénéfique. Courailleuse, sotte et déchaîner, la voilà qui était efficace, silencieuse et discipliné. Même si elle avait tout laissé derrière elle, elle se convainquit rapidement que c'était pour le mieux. Et ce ne fut que 5 ans après son arrivé à l'Antre qu'elle comprit qu'Athen était tombé. La guerre était terminée. Ils l'avaient manqué.

C'était supposément selon les plans de leur chef. Et jamais elle n'aurait défier son autorité. Il le disait et elle le croyait, ça finissait là. Par contre, la seule chose qui pu calmer la frustration qui bouillait en elle fut de savoir qu'elle serait de la partie pour la revanche. Et elle comptait venger tous ceux qui était mort de mains babylonoise.

Le temps de la deuxième guerre arriva, 5 ans encore après la fin de la première. Cela faisait plusieur fois que Myla partait en expédition de reconnaissance. Disparaissant dans les plaines et revenant de l'Orphelinarium avec d'explicites informations pour son Antre. Dix ans de cacheries et de rebellions, en regardant croître à vu d'oeil leur armée, avant qu'elle décide de réellement prêter son serment de rebelle, de Maître.

Ce fut le jour où elle prit sous son aile un fin garçon au corps épuisé et à l'esprit dévasté par la guerre. Il était frêle, délicat et terriblement féminin. Pieter Evans. Jamais plus Myla ne laissa s'égarer se merveilleux gamin aux aptitudes prometteuses. Elles se donna dix ans. Dix ans pour former cet apprentis, et en faire un rebelle comme elle en était devenue un en dix ans aussi. Alors forçant la main à son coeur bondé, elle et le petit partirent ensemble pour les confins de nul part.

Tous deux ne ratèrent pas la guerre. Ils étaient là, à se battre aux côtés de leurs frères quand vint le temps. Myla était là quand un avion s'écrasa en emmenant dans la mort de ses trois précieux amis. Myla était là quand au dernier moment d'un combat sans merci, une lame transperça le solide corps de son propre maître et chef. Myla était là quand la dernière goutte de sang que les veines de Progan avait gardé pour sa vie coula. Mais elle partit alors sans demander son reste.

Son coeur brisé par le départ de ses amis, le coeur lourd par la distance qui la séparait encore de son âme-soeur, le chevalier de son enfance, Taïs, mais son coeur prêt pour la vie qui l'attendait. Pour encore quelques années, elle et son apprenti repartirent sans revenir...

Description physique* :
Comme de raison, Myla n'a pu évoluer physiquement que par le bien. Toujours aussi grande et athlétique, ses courbes avantageuses n'ont pu que se paufiner encore avec le temps. Le visage sybillin, les traits fins, ses cheveux longs et noirs, rien n'a vraiment changé. Sans plus de féminité dans ses apparances, jamais elle n'a vu l'interet d'un quelconque changement. Même en l'espace de tant d'années.

Description Psychologique* :
Toujours aussi droite et strict, elle ne s'autorise de répis que quand elle est totalement satisfaite d'elle-même. Et très consciement, elle fait de même pour Pieter, souhaitant qu'il en fasse rigueur et qu'il retienne que le repos est une récompense qu'on attribut seulement aux efforts démarqués. Silencieuse mais sensible son esprit embrouillé fait encore l'objet de mystères, même pour Evans qui la côtoit jours et nuits depuis une décénie.

Liens familiaux :
Aucun. À son départ d'Athen il y a 20 ans, elle a tout laissé derrière. Incluant sa famille qu'elle ne revera plus. Elle a fait son deuil depuis bien longtemps.

Liens amoureux :
Aussi loin qu'elle soit, et aussi longtemps son absence durera, elle ne rêve que du jour où elle se retrouvera de nouveau entre les puissants bras de Taïs.

Défauts :
Myla, ne voyant en la parole qu'une manière subalterne de s'exprimer, est d'une loquacité minimum. Ses silences bien que longs et lourds son aussi expressive que n'importe quelle phrase. Que n'importe quel geste. Seulement, sans parler ainsi, le regard de glace et les traits durs, elle peu paraître bien souvent très peu entraînante et joviale.

Qualités :
Si secrète et presque renfermée, Myla ne montre son sourire et ses mots que quand elle en sens le réel besoin. Lors d'entraînement par exemple, elle peu autant prouvé qu'elle est une merveilleuse professeur, mais aussi qu'elle est une guerrière parfaitement aguérie. Ses sens accrut par tant d'années, ses principes renforcés encore par toutes ces batailles, et sa force prouvée par ses muscules mais par son esprit afiné qui ne laisse à présent place qu'à une parfaite stratège.

Autre :
Okay
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Kostas

Kostas


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MessageSujet: Re: Les présentations   Les présentations EmptyDim 26 Avr - 13:14

Prénom* : Myron

Nom : Kostas

Âge* : 32 ans

Sexe* : Masculin

Statut* : Rebel

Fonction* : Forgeron de la cité des Rebelles

Histoire* : Commençons avec le commencement, soit ma vie avant la guerre, dans cette famille babylonoise que j’aimais autrefois tant. Mon père était pour moi un idolâtre, le plus fort et le plus compréhensif des papas. Et ma mère, la femme la plus belle et la plus douce du village. Destiné à être le forgeron du village, suivant les traces de mon père, je passais beaucoup de temps avec ce dernier qui m’enseignait tout ce que je devais savoir. Car mon père cessait de répéter qu’il devrait un jour partir sauver notre cité. Je le trouvais si courageux…

Et en grandissant, je compris ce qu’était réellement la guerre et commençai à répliquer à mon père. Sa décision de partir combattre me rendait tout simplement hors de moi. Comment pouvait-il laisser tout derrière lui; sa femme, son fils, ses amis et sa forge, en demandant à son fils unique de prendre tout sur ses épaules, de voir sa mère pleurer son départ, alors que s’il devait revenir, ce serait des mains souillés de sang qui l’aimeraient et lui enseigneraient à nouveau..? Non, c’était un non-sens. Tout laisser, tout quitter, pour aller tuer et se faire tuer.

Je n’aurais pu voir ma mère souffrir autant. Je n’aurais pu prendre la place de cet homme qui se servait de sa force et de sa témérité pour aller massacrer des gens, puisque ce n’était pas la mienne. Plus je grandissais, plus je me sentais différent des autres. Quand j’entendais des gens rirent d’une perte ennemie, de la mort de gens innocents, mes poings se serraient et j’avalais de travers. Car je savais que c’était nous les mauvais, dans l’histoire. Les Babylonois tentaient de prendre de l’ampleur. Les Athiens étaient dans le chemin. Ça se résumait de la sorte. Je ne crois pas que les Athiens en auraient fait autant. Le gouvernement babylonois était bien plus strict et violent dans ses décisions.

Alors c’est quand j’ai appris que le gouvernement avait fait construire une cité-annexe pour les enfants orphelins que j’ai réagis. On entendait pleins d’horreur à propos de l’Orphelinarium, des histoires de torture d’enfants, d’éducation violente et de dures réprimandes. Les gens en parlaient avec une telle indifférence que je me mis à être colérique. Les Babylonois de mon village savaient clairement qu’il ne fallait pas parler de cela en ma présence. Sinon je m’énervais et en arrivait aux poings la plupart du temps. Pour moi, des enfants, ça restent des enfants, ennemis ou pas.

J’étais devenu très solitaire, pour ma cause, et les Babylonois ne m’approchaient tout simplement plus. Mon père me reniait autant que je le reniais, alors que ma mère continuait de défendre son fils unique et chéri : « Il est sensible, c’est tout. Il comprendra plus tard. » Le problème, c’est que j’avais déjà 21 ans et mon choix s’était arrêté. J’allais partir. Une rumeur avait parlé d’une sorte de repère, d’endroit secret où des Athiens rescapés se trouvaient. Je n’en savais pas plus. Mais ce que je savais, c’est que ma place était à leur côté.

Après une dure bagarre avec mon père, et des adieux déchirants à la seule personne qui m’aimait encore, malgré mon choix de renier les miens; ma mère, je partis avec mon baluchon sur l’épaule. Je n’avais pas de petite copine, et plus d’amis qui m’adressaient encore la parole. Ce fut plus facile de la sorte. Il faisait si chaud en ces endroits arides, mais je tenais bon. Pour ma cause. J’étais quand même bien bâti et j’avais de l’endurance, vu la chaleur qui régnait dans la forge de mon père, que je tenais davantage que lui-même à mon départ.

Et c’est après de longues errances autour de l’Orphelinarium que je finis par me faire intercepter. Par Marvin. Il devint rapidement mon meilleur ami. Mais les choses n’allèrent pas si bien en partant. Même à l’Antre, on me détestait et me reniait. Que je sois avec eux, ils s’en foutaient. J’étais babylonois et ça leur suffisait. Encore une fois, je ne me sentais pas à ma place, et si ça n’aurait été des quelques personnes qui tenaient à moi en ce lieu, je crois bien qu’on m’aurait trucidé sans remord.

C’est dans ce noir moment que mes jours furent éclairés pour la première fois, par une chose inconnue : l’amour. Je marchais seul dans les jardins de l’Antre, lorsque j’entendis les pleurs déchirants d’une pauvre petite créature, une femme pleine de beauté, de charme et de douceur, l’amour de ma vie. Rikku. Très vite, nous nous sommes attachés l’un à l’autre. Nous nous aimions d’une passion peu contenu.

Malgré le temps de guerre, nous avons improvisé un mariage et des noces. Juste avant que tout n’éclate. Car les Rebelles s’étaient décidés à attaquer. Il y eut la plus grande évasion jamais connu chez les jeunes orphelins. Malheureusement, très peu d’entres eux survécurent. Ça me déchira de l’intérieur. Ils n’avaient pas mérités de mourir si près du but. Mais ce qui me déchira encore plus, c’est la perte de certains êtres chers de notre camp. Marvin mourut dans son avion.

Et pire encore, j’étais devenu un tueur, dès la première goutte de sang versé. Je croisai bien des gens babylonois que je connaissais. Et tout ceux qui croisait mon passage mourut. Je tuai mon père, mais je ne pourrai dire sans remord. Bien qu’un de nous deux devait mourir, mon cœur étouffait à l’idée que ma mère se retrouve veuve. La guerre fut très dure, mais nous avons tout de même fini vainqueur, et non vaincu. L’inconcevable se conçu : les Athiens reprirent le dessus et les Rebelles se bâtirent une cité digne de ce nom, la cité des Rebelles.

Et maintenant âgé de 32 ans, j’y vis avec ma femme que je chérie plus que tout, mon fils et mes deux filles, Marvin, Aimée et Mélodie. Je suis le forgeron de la cité, mais aussi un Rebel bien entraîné au cas où les Babylonois prépareraient une vengeance à leur tour. Mais je souhaite plus que jamais de ne devoir verser du sang à nouveau.

Description physique* : Avec le temps, mes cheveux autrefois blond sont devenus châtains-roux. Mes yeux, quant à eux, ont pâlis pour devenir noisettes. Je suis toujours aussi bien bâti, ayant conservé la force d’un taureau. J’arbore toujours avec fierté mon tatouage chinois au bras gauche, signifiant Liberté.

Description Psychologique* : J’ai énormément mûri. Étant papa, je suis désormais beaucoup plus responsable et doux. Je prends de plus sage décision à présent, ayant perdu mon entêtement et mon attitude plus revêche.

Autre : J’aime Rikku plus que tout au monde et ne peut être aussi heureux, puisque les Cieux ont exaucés mon désir de vivre paisiblement avec elle et nos futurs enfants après la guerre.

Passe-temps : Passer du temps en famille.

Liens familiaux : Mon fils Marvin, mes deux filles jumelles Aimée et Mélodie, et bien sûr ma femme, Rikku Kostas. Je considère encore ma mère comme une partie de ma famille…

Liens amoureux : Je suis marié à Rikku.

Rêve : Qu’il n’y ait plus jamais de guerre et que je vivre heureux avec ma famille jusqu’à ce que je m’éteigne doucement…

Défauts : Je suis beaucoup trop protecteur envers ma famille et j’ai de la difficulté à faire mes deuils.

Qualités : Je suis un bon papa !

Autre : Okay


Dernière édition par Kostas le Dim 26 Avr - 15:35, édité 2 fois
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MessageSujet: Re: Les présentations   Les présentations EmptyDim 26 Avr - 14:45

Bienvenue à tous,
Luna, Myla et Kostas, vous êtes acceptés.
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Scott

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MessageSujet: Re: Les présentations   Les présentations EmptyDim 26 Avr - 18:35

Prénom* : Scott

Nom : Desfall

Âge* : 26

Sexe* : Masculin

Statut* : Athien

Fonction* : Athien mais bientôt rebelle

Histoire* : Eh bien bonjour, je me nomme Scott Desfall, mes parents sont Athiens et moi de même. Né de parents riches, j'ai toujours vécu dans le luxe jusqu'à la première guerre où j'ai perdu mes parents et ma soeur, Léa. La maison détruite et moi seul, je pris l'argent de mes parents et je partis faire le tour du monde avec leur voillier. À 18 ans je partais pour le tour du monde et je n'avais pas l'intention de revenir.

À 20 ans, maintenant rendu en Inde, je rencontrais la fille de mes rêve elle s'appelait Jasmine. Jasmine et moi vivions le parfait amour jusqu'à ce que la mort me l'enlève. Elle s'était noyer lorsque j'étais partit à la chasse. Quand je suis revenu, j'ai vu son frère et sa mère penché au dessus de son corps innerte et c'est là que j'ai su qu'il fallait que je revienne et que je me batte pour mes convictions.

À 22 ans, j'étais en asie ou je rencontrais un maître chinois que m'enseigna tous les maniments d'armes mais ma préféré restait le sabre. Pendant trois ans cet homme, Cho wan chong, m'enseigna tout ce que je devait savoir sur la vie et m'aida à contrôler ma colère. C'est à l'âge de 25, que je perdis cet ami et ce père qui lui en avait 76. Après la mort de Cho Wan, Je repris mon chemin vers ma terre natale.

À 26 ans, j'étais de retour à la maison et c'est là que je su qu'il fallait que je trouve l'antre dont j'avais tend entendu parler. Maintenant je suis rendu là et je pars pour la trouver espérant la trouver avec facilité.


Description physique* :
-cheveux noir
-yeux bleux
-grand
-musclé

Description Psychologique* :
-calme
-intélligent
-gentleman: il croit que tout les filles devraient être traiter avec respect c'est pourquoi il est si gentil et il sait le parler pour les rendre souriantes car il déteste voir une femme pleurer.

Je crois que c'est tout ce qu'il faut pour être un bon rebelle.


Autre : J'ai fais mon deuil de Jasmine mais il y a une petite partie de moi qui pense encore à elle.

Passe-temps : S'entrainer et méditer.

Liens familiaux : Plus aucun

Liens amoureux : Plus aucun

Rêve : Faire partie de la gang qui va bientôt anéantir celle qui a tué sa famille.

Défauts : Eh bien des fois il perd patience mais très peu souvent. Quand il la perd, gare à vos têtes!

Qualités :
Il est un bon gars qui est très mature.

Autre :Okay


Dernière édition par Scott le Mer 29 Avr - 19:30, édité 2 fois
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MessageSujet: Re: Les présentations   Les présentations EmptyDim 26 Avr - 18:40

Tu es accepté, Scott.
Amuses-toi bien.
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Evans

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MessageSujet: Re: Les présentations   Les présentations EmptyDim 26 Avr - 20:02

Prénom* : Pieter

Nom : Evans

Âge* : 24 ans

Sexe* : Masculin

Statut* : Rebelle

Fonction* : Apprenti de Myla

Histoire* : Ça fait tellement longtemps de cela, mais dans ce qui me paraît une autre vie, j’habitais avec ma famille à Athen. Des parents avec qui j’entretenais une bonne relation, des gens qui m’aimaient et me gâtaient à l’occasion. Nous n’étions pas très riches, mais nous nous débrouillions. Nous habitions un coin plutôt reculé d’Athen et nos voisins les plus proches étaient à des kilomètres de chez nous. Notre maison se situait en plein cœur d’un beau boisé, où je chassais avec mon père.

Je connaissais très bien la faune et la flore, j’avais déjà en partant une bonne mémoire. Et comme j’étais le seul enfant à des kilomètres, je passais mes journées à grimper dans les arbres, à pister et traquer les animaux. Je dois dire que j’étais assez heureux. Mais plus je grandissais, plus je souffrais de cette distance avec «la vraie vie». C’était ma mère qui m’enseignait, donc je n’allais pas à l’école. Et bien que j’étais comblé d’amour par mes deux parents, il me manquait quelque chose.

J’avais quatorze ans quand des hommes ont forcés la porte de notre petite chaumière. Je me rappellerai toujours de leurs visages, alors que, caché dans la penderie, je les ai vus massacrer mon père et ma mère. J’entendrai toujours dans l’écho de mes songes les hurlements d’horreur poussés par mes pauvres parents, alors que ces horribles gens battaient mon père et violaient ma mère.

J’avais eu la force d’attendre qu’ils partent avant d’enfin pleurer. Un sanglotement douloureux, incontrôlé, mais surtout inconsolable. Je gémissais, pleurant à chaudes larmes ainsi durant peut-être des heures, je ne saurai dire. Puis, alors que le soleil se couchait, je sortis enfin de ma cachette. J’étais terriblement ankylosé et j’avais une migraine affreuse à force d’avoir pleuré. J’essuyai d’un revers de la main les dernières larmes qui restaient sur mon visage bouffis et avec une volonté de fer malgré la peine qui me ravageait, je portai les corps de mes défunts parents jusqu’au petit fossé derrière chez nous et les enterrai avec toute la délicatesse qu’on me connaissait.

Je n’étais qu’à demi-conscient de mes gestes et c’est dans une sorte de transe que je me préparai un petit sac-à-dos dans lequel je mis tout ce que je pus dedans. Les soldats avaient saccagés à peu près tout, ne laissant que très peu de souvenirs et pratiquement aucune nourriture à emporter. Je partis à la nuit noire et c’est à partir de là que je commençai une nouvelle vie : j’étais devenu une ombre.

Le jour, je me cachais et la nuit, je marchais. Vers où ? Je n’en avais aucune idée. Au fur et à mesure que les jours passaient, je comprenais ce qui s’était passé. Les soldats babylonois étaient rendus omniprésents et comme je surprenais souvent leurs conversations, la vérité me sauta aux yeux : Athen avait été renversé, les massacres se décuplaient et la guerre était partout. Je continuai de fuir ainsi durant des mois, me ravitaillant à l’improviste dans les maisons abandonnées, ravagées…

Cela devait faire quelques jours que je n’avais vu de civilisation. J’étais rendu dans des plaines arides, désertes. J’étais seul, épuisé, sale, mais surtout assoiffé. Je ne tenais même plus debout. Mes souliers étaient rendus trop petits, alors j’avais dû les laisser il y a de cela peut-être une semaine. La terre des plaines me brûlait sous les pieds. J’avais d’énormes cloques et d’innombrables ampoules. Je rampais, à peine conscient. Je ne voyais plus rien, le soleil m’aveuglait. Je m’étais coupé à plusieurs endroits durant mon périple et les plaies s’étaient infectées. Mais je ne sentais même plus la douleur. J’étais persuadé que la mort viendrait me chercher bientôt, et quand je vis cette femme au-dessus de moi, je la pris pour un ange.

Myla. Cette redoutable rebelle m’avait recueilli sous son aile avec une telle volonté et je lui en suis encore reconnaissant.

Mon rétablissement fut plutôt long. On pansa mes blessures, m’offra à boire et à manger. Myla s’occupait de moi avec une ferveur hallucinante. Déjà, elle m’aimait comme son propre fils. Mais les horreurs que j’avais vécu me hantaient toujours et lorsque j’arrivais enfin à m’endormir, j’étais bouillant, fiévreux, je hurlais et je gémissais. Mais une journée, j’eus de la visite. Plutôt étonnant puisque je ne connaissais personne. Mais quand je me réveillai cette journée-là, il y avait un garçon du nom d’Alex au dessus de moi, qui m’observait avec un drôle de regard.

Je m’empourprai. Je ne savais pas pourquoi. Il me faisait sentir… bien. Je ne connaissais pas ça, évidemment. Je n’aurais pu comprendre qu’il était question d’amour. Surtout que c’était un garçon. Du peu que je savais du sujet, les garçons aimaient les filles, et les filles les garçons. Il n’y avait pas d’autres possibilités. Seulement, en sortant de ma convalescence, je ne pus m’empêcher de retrouver ce garçon qui piquait ma curiosité. Il avait flotté dans mes pensées durant toute la fin du temps où j’étais cloué à ce lit de camp, et comme je ne cauchemardais plus depuis sa visite, Myla avait décidé que j’étais prêt à me remettre sur pied et d'explorer un peu l’Antre. Bientôt, on commencerait mon entrainement de rebelle et je pourrais combattre à leur côté…

Mais un évènement imprévu vint brouiller le chemin qui m’était tout tracé. Saphira. Cette folle était en fait une orpheline rescapée de nulle part qui avait accumulée toute forme de violence et de haine possible. Elle était davantage animale qu’humaine à présent et c’est dans les plaines que je fis sa rencontre. Personnellement, je ne lui en veux pas puisqu’elle a fait concrétiser ma relation avec Alexandre.

Je ne la vis même pas venir. Sauvagement, elle m’avait enfoncée sa dague dans l’épaule et savourant mon cri de douleur, elle l’avait fait descendre tout le long de mon dos, me faisant une grande plaie béante, saignant dangereusement. J’avais roulé au sol, me tordant tout en gémissant. Des larmes de douleur me rendaient aveugle, m’empêchant de répliquer. Et alors que je croyais avoir perdu connaissance, une nouvelle douleur me remis à ma place : Saphira m’avait alors planté sa dague dans la main, la clouant au sol par la même occasion.

Je hurlai de nouveau, mais bien vite ses hurlements rejoignirent les miens. Alex était venu. Et de son arc lui avait envoyé deux flèches bien placées au niveau de la nuque. De ses bras puissants, il m’avait déposé sur ses genoux et tout en me serrant contre lui, avait déposé un tendre baiser sur mes lèvres. Je me rappellerai toujours de la sensation qui avait parcouru tout mon corps à ce moment. Des bouffées de chaleur m’avaient remontées tout le long de l’échine, créant de drôles de chatouillis, alors que je le désirais plus que jamais.

Il m’avait transporté jusqu’à l’Antre dans ses bras et je m’évanouis, paisible. À mon réveil, je me retrouvais à nouveau dans ce lit de camp, à me faire soigner mes blessures tout en pensant à Alexandre. Notre histoire fut courte. Une seule et unique raison. La guerre. J’ai tout perdu dans cette guerre et pourtant tout gagné. Mais ce que j’avais gagné, on me l’a arraché. Dans ces plaines, encore…

J’ai perdu l’amour de ma vie en ces plaines. Tué par une certaine Luna, que j’ai su. Une jeune fille, qui malgré les actes horribles qu’elle avait fait et allait faire, semblait plus effrayée qu’autre chose dans tout ça. Et je ne pouvais lui en vouloir malgré cela. Alors qu’elle appuyait sur la détente, j’ai vu la peur qui se lisait dans ses yeux. J’ai vu qu’une part d’elle regretterait toujours d’avoir causé sa perte. Mais sur le coup, tout ce que j'avais vu, c’était lui.

J’avais hurlé. On ne m’avait porté attention, alors que tout autour de moi se résumait par ce hurlement. J’avais couru. À peine conscient de ce que je faisais, je m’étais précipité sur Alexandre, soit droit devant l’arme restée pointé sur lui. Luna avait alors posé son regard sur moi et avait déposé le pistolet à mes pieds. Je m’en étais même pas aperçu. Pas pour le moment. J’avais d’abord porté mes lèvres au cou d'Alexandre, murmurant son nom à travers les larmes qui roulaient le long de sa gorge. Je tenais sa tête d’une main, bien agrippé à ses cheveux châtains. Je humais son odeur avec une telle désespérance, oubliant de respirer par moment. Tout était fini. Ma propre guerre contre moi l’était, du moins. Je savais que mon homosexualité allait mourir avec lui et alors que je déposai un dernier baiser sur ses lèvres, lui fermai les yeux et lui chuchotai d’être heureux où il allait aller, je savais que je devrais le rejoindre.

Je n’avais plus ma place en ce monde. Sans lui, je n’étais rien. Il était le reflet de ce que j'étais, tout ce qui me restait. S’il y avait un endroit où nous allions, ce serait ensemble. Je relevai la tête, lui portant un dernier regard empreint d’amour et alors que Luna semblait toujours en transe devant nous, je pris le revolver et le pointai sur elle. Je tremblais tant et alors que je compris que je n’aurai jamais la force de la tuer, je dirigeai lentement l’arme contre ma tempe. Le corps de l’homme que j’aimais contre ma poitrine, yeux clos, j’appuyai lentement sur la détente.

Le coup retentit mais Myla avait été plus vite que moi. La balle se logea profondément dans la terre. J’étais tellement effrayé. Cette balle aurait dû se loger dans ma tête. Et bien qu'encore aujourd'hui je n’ai aucun remord, je ne pus m’empêcher d’éclater en sanglot, serrant toujours l'homme que j'aimais contre moi, reniflant ses cheveux, me nichant pour toujours et encore dans son cou. Elle tenta de me séparer du corps, de me raisonner. Je me débattu avec une ferveur incomparable. Mais le maître l’emporta sur son apprenti et je fus séparé de la dépouille. Je hurlais encore quand on arriva à l’Antre. Myla m’y laissai et retourna se battre aux côtés des autres rebelles. Moi je n’en avais plus la force.

On vint me chercher à la nuit tombée. Je n’avais pas bougé du tout. La guerre était terminée et nous avions triomphés dans ce combat acharné qui avait joué pour gros. Myla était venue avec deux sac-à-dos et m’avait soufflé deux mots : «Nous partons.» Ça n’en prit pas plus pour que je la suive et cela fait maintenant dix ans qu’elle m’entraîne en dehors du territoire de l’Antre, à des dizaines de kilomètres de cet endroit de malheur.

Dix ans qu’elle me souffle les secrets de sa sagesse par le combat. Dix ans en quasi-total silence, à réapprendre à vivre et à aimer vivre. Et pourtant je n’y arrive pas…


Description physique* : Mon visage est constamment de marbre, n’exprimant aucune émotion. Mes cheveux quant à eux, sont restés relativement court, en bataille. Évidemment, j’ai énormément grandit. Je suis beaucoup plus bâti, plus fort et naturellement, ma voix a mué. Mon torse et mes épaules se sont élargis et je suis rendu musclé à force de travailler dans les entraînements forts éprouvants de Myla. Je n'ai plus l'air aussi efféminé qu'avant. La douleur m’a énormément endurci, autant physiquement que psychologiquement. Et je garde toujours les marques de la dague de Saphira, une longue cicatrice descendant tout le long de mon dos, à gauche de la colonne vertébrale.

Description Psychologique* : Je suis devenu très réservé et silencieux. Nous parlons presque jamais, Myla et moi. On voit clairement que le temps n’a pas réussi à me faire oublier toutes les horreurs que j’ai vu, et une tristesse constante semble s’être installée dans mes iris. Je suis d’une froideur parfois déconcertante, même pour Myla…

Autre : Oui, bon… Si on a bien compris, Alex n’est pas mort mais Evans ne le sait pas (joie xD).

Passe-temps : Ce que je préfère des entraînements, c’est les combats d’épées. Myla m’a fait cadeau d’une magnifique, souple et pourtant très imposante épée, que je me fait un plaisir de manier. Cela peut s’avérer parfois très libérateur.

Liens familiaux : Il ne reste que Myla que je considère comme ma mère, en dehors des entraînements...

Liens amoureux : Alexandre étant mort, - bien que je ne peux oublier le temps où nous étions ensemble - je peux dire que je n’aime plus personne en ce monde et certainement plus les hommes.

Rêve : Qu’Alexandre me revienne…

Défauts : Malheureux, c’est un défaut ?

Qualités : Je suis empli d’une sagesse déconcertante depuis la fin de la guerre.

Autre : Okay


Dernière édition par Evans le Dim 26 Avr - 22:40, édité 2 fois
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MessageSujet: Re: Les présentations   Les présentations EmptyDim 26 Avr - 21:47

Bienvenue !

Evans tu es accepté.
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Amina

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MessageSujet: Re: Les présentations   Les présentations EmptyDim 26 Avr - 21:59

Personnage prédéfinis* : Non

Prénom* : Amina

Nom : Il y a longtemps, je m'appelais Vandir. J'ai ensuite découvert la vérité sur mes origines, et mon vrai nom est Zidatria. Mais je me considère comme une nouvelle personne qui vient juste de
commencer à vivre, donc j'ai décidé de ne pas avoir de nom.

Âge* : 19 ans

Sexe* : Féminin

Statut* : Rebelle

Fonction* : Apprentis

Histoire* : Dix ans ont passés. Dix ans depuis ces événements; ceux qui ont changés ma vie à tout jamais. Des fois, quand on est jeune, on ne peut pas comprendre la raison de certains événements, comme perdre une soeur, en trouver une autre, reperdre sa famille, ou bien seulement la geurre. Mais depuis dix ans déjà, je repasse toutes ces épisodes dans ma tête, si bien que des fois j'ai l'impression qu'elle explosera, et j'ai finalement compris. La vie est faite de choses mauvaises et de belles choses, et si les mauvaises n'existaient pas, nous ne pouriont pas profiter pleinement de ces belles choses. C'est ça que je me répètes sans cèsse, est c'est ça que j'ai appris à croire. Ou ce que je veux croire.

Ma vie d'avant était vouée au désastre. J'étais la fille du Président Bleu, le pire dictateur du monde et le président de Babylonia. Ma soeur, Luna Vandir, était une pimbèche. Et je n'étais pas mieux non plus. Je m'amusais à faire d'un cauchemar la vie des gens, et je ne céssai de demander l'attention. Mon père m'amait et me donnais tout ce que je voulais, mais ce n'était jamais assez. J'en voulais toujours plus, et très vite je ne voyais plus rien à faire dans la vie que d'être une peste qui détruisait la vie de tout le monde.

Luna me détestais beaucoup, mais il y avait toujours eut une part d'elle qui était voué à être la grande soeur protectrice. Je me rapelles les temps où je lui courrais après, en essayant de lui faire avouer tous ses secrets. Mais dans ces temps-là, elle m'ignorait, tout simplement.

J,avais grandit dans une grande maison, les premières années de ma vie. Ma mère était morte, n'arrêtait pas de dire mon père. Elle avait péri, et ne reviendrais jamais. Mais il avait tors. Et je ne découvrirait ce secret que des années plus tard. Ma maison était toute grande et blanche, avec de nombreuses chambre et des chandeliers en cristal. Une maison de rêve, on dirait un château. Mais j'ai du tout laisser tomber, pour aller rejoindre mon père et ma soeur à L'Orphelinarium.

L'Orphelinarium.

La pire cité du monde. Si je connaissais pas mieux, on aurait dit une prison. Pire, un asyle. J'avais du quitter mon compte de fées pour un asyle. Parfait! Je ne pouvais pas croire que mon père m'avais ordonné de venir vivre ici. Il était complêtement fou. Et de plus, ma soeur n'avait même pas levé son petit doigt pour s'y opposer. Elle était à cent pourcent d'accord. Mais quelle soeur Luna faisait.

Je me fis donc un plaisir de faire la vie à l'orphelinat un peu plus interressante. Les Soeurs pourraient dire ce qu'elle voulaient de mon comportement, mon père ne ferait rien. Il était le président, et il ne prennait aucun ordre. Mais je voyais bien les yeux doux qu'il faisait à Nez-de-fer quand elle avait les yeux tournés. J'avais peut-être bien 9 ans, mais je n'étais pas folle. Mon père appréciait bien sa compagnie. Elle et celle de Mclaow. Cette sorcière me faisait toujours peur. Vraiment vraiment peur...

Je courrai dans les couloirs, je criais et je chantai à en casser les oreilles. Partout, les orphelins me traitaient de petite peste. Il y avait Alexandre, Laurea, Mathieu, Essaime et d'autres, mais je m'an foutais bien, ils n'étaient que des orphelins et leur opinion était en dessous de moi. Des minables sans parents, ce qu'ils étaient. Bien sur, je ne savais pas ce qu'ils se disaient dans le parc, puisque c'étais la seule place où je n'étais pas permise d,aller, là et les bureaux de mon père.

Je suivais des cours quand je voulais, et je n'étais jamais punie. Pas une soeur n,avais la volonté ni le courage de lever un seul petit doigt pour m'arrêter. Et à vrai dire, je commençais en avoir assez d'être la petite peste de l'orphelinat.

Puis, un jour, j'étais seule dehors, en dessous d'un arbre. Elle est venue vers moi, et elle à commencé à me parler, comme si j'étais humaine. Amalie. C'était ça son nom. Elle était si jolie. Et elle était plus vielle que moi. Rapidement, elle devint la grande soeur que j'avais toujours rêvé d'avoir. Belle, intelligente, drôle, amusante. Et en plus, elle aimait énerver les gens, comme moi. Je m'attachai vite à elle, et je devins rapidement inséparable.

Puis, Luna décida d,avoir un coeur. Elle avait décidé que Essaime était à la hauteur de ses attentes. Wow. Un athien et une babylonoise! Je ne crois pas que mon père était très content de l'apprendre. Essaime décida de jouer les infidèles. Lui et Maria, la meilleure amie de Luna, étaient maintenant ensembles. Luna, prise de folie, s'en pris à Vladimir. C'était tellement drôle à voir, tous ces problèmes de coeur. Essaime revint vite dan sles bras de la Belle Luna, ayant assez de trainer avec Maria.

Tout cela m'importait peu, à vrai dire. Jusqu'au jour ou vint Mathis. Amalie l'avait vite charmé, et même pas un soir après, ils avaient couchés ensembles. Ils étaient rendus le plus beau couple de tous les temps. Amalie devenait de plus en plus distante avec moi.

Et puis vint un autre jour troublant. L'arrivé de ma “Mère”, Amélie Vandir. Et voici son histoire.
Elle n'était pas ma mère, et elle n'était pas morte. Le président voulait un fils. Il était aussi sur le point d'être le prochain Président de la République Babylonoise et il était énormément stressé à cause de la pression qu'il recevait. Amélie avait finit par redevenir enceinte mais le stress de son mari l'a poussé à faire des choses qu'il n'aurait pas fait dans son état normal. Il essayait de noyer sa femme, enceinte, et il la frappait. À la suite d'un épisode de ces coups, Amélie perds son enfant. Découragée mais voulant toutefois laisser une chance à son mari, elle se tourne vers la seule solution possible et efficace. Sa meilleure amie d'enfance athienne venait d'accoucher de sa deuxième fille. Elle convient donc avec son amie que celle-ci lui donnera sa fille, Moi. Amélie savait pourtant que cela lui brisera le coeur mais de toute facon, Satina, la première fille de son amie nécessitait beaucoup d'attention à cause de ses problèmes de santé. Je fus adoptée légalament. Satina et moi ne devions jamais découvrir la vérité.. Et le Président non plus.

Quand j'appris ces nouvelles, ma vie chamboula. Il y eut beaucoup d'épisodes différents. Mon escapade au cuisine, oû je me soula pour la première fois avec les autres orphelins. Le départ d'Alexandre et de Satina. La mort du Frère. Les réunions au sous-sol. La fuite de Lauréa.

Luna devint folle. Le président se fis assasiné. Mathis mouru. Tous ces événements passèrent si rapidement. Et puis on se préparait pour la guerre.

Thomas était désormais mon seul ami fidèle. Il était le frère présumé mort de Laurea.nous nous étions renconrtés quelques mois avant. J'étais certaine qu'il sera mon ami pour la vie.

Je fus triste de laisser la petite Ainna toute seule, a lorphelinat. Mais le président était mort, et il fallait partir. Essaime, Thomas, Amalie Satina et d'autres sont venus chercher l'antre avec nous. Mais ma soeur se fit tuer dans la bataille. Je venais à peine de la retrouver. Amalie, maintenant enceinte du défunt Mathis, accoucha dan sles plaines, mais mourut à la naissance. Son enfant disparut mystérieusement. À la fin de la bataille, les centaines d'orphelins ont été tué ou capturés. Il ne restait que Thomas, Essaime et moi. Bizarrement, Essaime ne nous lâchait pas des yeux, Thomas et moi. Comme si on disparaitrais, nous aussi.

Nous somme arrivés à l'antre sains et sauf, et nous y sommes restés. Essaime fut entrainé et devint un exellent rebel, comme son frère, Progan. Moi, je sui en train de devenir une rebelle. Thomas aussi.

Je crois bien avoir le béguin pour lui. Reste à savoir s'il m'aime aussi. Nous ne savons pas ce que la vie à en réserve.

Description physique* : depuis mes neufs ans, j'ai beaucoup changé. Premièrement, mes cheveux autrefois blonds pâles, sont maintenants Chatains clairs avec du roux dedans. Ils m'arivent à la taille. Mes yeux sont bleus, comme le ciel. J'ai atteint la puberté, donc mes formes se sont mises à changer. J'ai à présent des courbes très féminines. Je portes souvent une armure de cuir que j,ai faite moi même. À la taille, j'ai gardé en ma possession le foulard que Luna m'avais donné il y a longtemps. Ma peau pâle semble prendre plus en plus de couleurs.

Description Psychologique* : J'ai beaucoup muri en dix ans. Je suis moins baveuse et pimbêche. J,ai plus de semsibilité. A vrai dire, aucune trace de ma vielle personalité ne reste. Je suis calme, drole, et parfois sarcastique, seule trace de mon passé. Je suis souvent ailleurs, absente en esprit.

Autre : Ma soeur Luna me manque terriblement, et je rêves qu'elle retrouve sa joie.

Passe-temps : Être avec Thomas

Liens familiaux : Ma famille de sang est morte. Mais il me reste ma soeur, Luna.

Liens amoureux : Je pense bien que je suis amoureuse de Thomas.

Rêve : Devenir une redoutable rebelle, et batir ma famille.

Défauts : Tout le monde en a, c'est la vie.

Qualités : J'en ai pleins, mais des fois, je peine à les montrer.

Autre : Okay
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MessageSujet: Re: Les présentations   Les présentations EmptyDim 26 Avr - 22:22

Bienvenue à toi Amina, tu es acceptée !
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Rikku

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MessageSujet: Re: Les présentations   Les présentations EmptyLun 27 Avr - 11:26

Personnage prédéfinis* :
Non

Prénom* :
Rikku

Nom :
Kostas

Âge* :
30 ans, mais j'ai encore la même énergie débordante de mes 20 ans !

Sexe* :
Féminin

Statut* :
Rebelle

Fonction* :
Rebelle et mère de trois merveilleux enfants

Histoire* :
Je n'avais que 9 ans lorsque mon père me donna ma première arme. C'était d'étrange lame au poigné ronde. Elles venaient en paires. Logiquement, une pour chaque main. Je me suis tout de suite sentie à l'aise avec ce genre d'arme. Les faires tourners pour ensuite les ratrappers, attaquer des deux côtés. J'ai tout de suite adoré. Mon père m'avait donné ses armes en me disant qu'elles me serviraient un jour. C'est pourquoi je commença immédiatement à m'entrainer. Étant la seule à avoir un intêret pour le combat, je m'entrainais seule avec des sacs de farines. J'étais réglé comme une montre. À chaque matin, à 5 heures plus précisément, je me levais, sortais les armes et m'entrainais pendant plusieurs heures. Je voulais être la meilleure, me pousser aux limites, au maximum.

Ce fut lors d'un matin froid que je vis du coin de l'oeil un homme qui me regardait avec insistance et concentration. Ne lui donnant aucune attention, je continua mon entrainement. Tout le long, il resta là, me regardant et ne bougeant point. Le lendemain il était encore là. Au cinquième jours, il s'approcha et m'aborda. Je n'avais pas peur. J'étais armé et bien entrainé. Il me parla de d'autres enfants de mon âge qui aimait, eux aussi s'entrainer aux armes. Habitué à la solitude de mes entrainements, je ne savais point si je serais capable de m'entrainer avec d'autres gens. Déjà calme et réservé lorsque j'étais plus jeune, ma solitude quotidienne ne m'avais pas aidé. Mais j'accepta tout de même. Je partie alors avec lui et nous avions marché un bon bout de temps.

Je vis alors au loin, 4 silhouettes armés. Je fis ensuite leurs connaissances. Il y avait Tais. Déjà en plein milieu de l'adolescence, il semblait avoir une vivacité d'esprit incroyable. Je sentais déjà qu'il savait manier les armes avec perfection. Il y avait ensuite Progan. Plus vieux de quelque années, je lui destina tout de suite une vie de beau garçon. Il y avait son amie. Myla. Je l'idotra dès le premier regard. Son caractère bouillonnant et stratège me mis tout de suite à ses pieds. Mais je sentais que si je réussissais à briser le mur de timidité qui me séparait d'elle, un fort lien d'amitié pouvait nous lier. Et finalement, il y avait Rose. Jeune fille, douce, calme mais étrangement je ressentais qu'un besoin de s'occuper des autres émanait d'elle. Nous étions 5 et inséparables.

Un jour, Nick nous emmena loin d'Athen, très loin. Un endroit caché nous avait-il dit. Je le suivis sans hésité. Je voulais partir. Partir loin. Me refaire une nouvelle vie. Vivre avec des gens qui partagaient ma passion pour le combat et les armes. Pendants plusieurs années, je continua de m'entrainer et bientôt, plusieurs personnes vinrent se rajouter. D'autre passionés. Bientôt, nous formions une grande armé. Et plus je grandissais, plus je me rapprochais de Progan. Et évidemment je fus prisonnière de son charme. Mais Myla prenais évidemment la plus grand partie de son coeur. Je fus donc un essai, un cobaye, un vulgaire rat de laboratoire. Les crises de larmes étaient nombreuses et fréquentes.

Mais un jour, le noir devint blanc. Kostas. Il me trouva derrière un buisson pleurant comme j'en avais l'habitude. Je n'étais pas belle à voir. Cheveux en bataille, yeux et joues rouges, je n'étais pas à mon avantage. Mais déjà, son regard plongeant dans le mien, l'amour me lia tout de suite à lui. Quelques jours avant la guerre, nous avons improvisé un mariage et nous nous sommes lié à jamais.

Mais ensuite, nous avons décidé d'attaquer. La deuxième guerre éclata. Nous avons perdu beaucoup de nos guerriers dans cette guerre. Notamment, Progan. Ainsi que Marvin. Dans l'avion de ce dernier. Je les avais pourtant avertie qu'il était dangereux d'utiliser l'avion. Quand je vis l'avion exploser dans le ciel, je ne pu m'empêcher d'arrêter de combattre pour regarder Beth effectuer un crash. Cette distraction faillit me coûter la vie. Une chance que Myron était tout près.

Mais après le combat, je vis que Nick avait été touché. Une balle en plein coeur. Il y avait encore le meurtrier tout près. Je devrais dire la meurtrière. Luna. Et je vis la balle fuser du revolver allé se loger entre les deux yeux d'Alexandre. Je voulus allé lui régler son compte, mais elle était déjà partie en courant.

Après la guerre, les choses se sont calmées. Nous avions gagné. Nous avons alors commencer à vivre une vraie vie. Une vie heureuse. Je continuais à m'entrainer, mais j'avais maintenant moins le temps. Pourquoi ? Trois fabuleux enfants étaient entré dans notre vie. Notre plus vieux, Marvin. Nous avons décidé, d'un commun accord, de le nommer comme notre défunt ami. J'avais ensuite eu des jumelles. Aimé et Mélodie. Deux douces et gentilles jeunes filles.

Je continue à avoir une vie tranquille et heureuse. Et je veux que ça dure...

Description physique* :
Je n'ai pas changé. Cheveux encore blonds, yeux bleux. Malgré mes deux accouchements, je garde un ventre plat et ferme grâce à l'entrainement. Mais j'ai quand même gardé les cicatrises. Tattoo de sang. Elles font par contre maintenant parties de moi.

Description Psychologique* :
J'ai gardé la même énergie qu'avant. Énergique et pétillante. Bien que je sois plus maternel et protectrice. Mais je ne suis tout de même pas mère poule. Je réserve ça à Myron...

Autre :
Je suis mariée à Myron Kostas

Passe-temps :
J'adore enseigner à mes enfants le maniment des armes bien qu'ils soient encore jeunes.

Liens familiaux :
J'ai ma petite famille. C'est tout.

Liens amoureux :
Mariée et donc prise.

Rêve :
Ma vie que je vie en se moment à été mon rêve pendant longtemps alors.

Défauts :
Quelquefois mon énergie débordante pour exaspérer certains.

Qualités :
Je porte beaucoup d'attention à ma famille

Autre :
Okay
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MessageSujet: Re: Les présentations   Les présentations EmptyLun 27 Avr - 11:46

Accepté Rikku. Bienvenue !
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Nicholas

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MessageSujet: Re: Les présentations   Les présentations EmptyLun 27 Avr - 12:18

Personnage prédéfinis* : Non

Prénom* : Nicholas Progan

Nom : Golderick

Âge* : 10 ans

Sexe* : masculin

Statut* : Fils de rebelles

Fonction* : Petit môme athien rebelle

Histoire* :
Mon histoire pourrais commencer bien avant ma naissance.
Au tout début, il y avait mon père, Progan. Il était un grand coureur de jupons, c,est ce que je veux croire. Puis il rencontra ma mère, Ashe. Et je crios qu’ils s’aimaient beaucoup, sinon je ne serais pas là, moi.

Ils s’aimaient, et puis,un jour, ma mère sut qu’elle était enceinte. Mon père et elle étaient complètement émerveillés. C’est aussi ce que je me pousse à croire. Mais c’était un temps de guerre, et il n’y avait pas de place pour un enfant, comme moi. Je crois que mes parents se sont inquiètés pour mon avenir.

Je ne connais pas l’histoire au complet. Seulement la partie que j,ai vécu, mais je pourrais vous raconter ce que j,ai entendu dire. Mon père était un brave homme. Quand la guerre éclatta, il partit avec un prénommé Marvin et le frère de ce dernier, Max, dans un avion. Ils allaient aider les rebelles. Mais leur avion esplosa, et cette journée-là, bien avant ma naissance, j’ai perdu mon père.

Ma mère était dévastée. Elle avait perdu son amant, Progan, le père de son enfant. Des fois, je me demandes comment ce serai si je n’avais pas existé, même en tant qu’embryon. Peut-être mon père aurait-il survécu, mais je n’aurais tout de même pas été là, avec lui. Parfois aussi, je me plains, je me dis que tout ça, c’est de ma faute, mais je sais que j’ai tors. Je n’étais pas encore sorti du ventre de Ma mère quand tout cela ce passa.

Ceci conclut la partie de mon histoire qui s’est passé avant ma naissance.

Toute naissance débute par de la douleur. Ashe criait dans l’infirmerie, sans tenir la main de celui qu,elle aimait, sans entendre sa voix. Mais quand toute la douleur cessa, je fus là, moi. Nicholas, le fils de Progan, nommé en mémoire du plus grand chef des rebelles. je ressemblais à mon père, avec mes cheveux blonds en bataille. Je ressemblais à progan, le rebelle.

J’étais entouré d’amour, en grandissant. Ma mère ne me laissais jamais seul, et je ne manquais de rien. Et mon oncle Essaime était là pour moi aussi, comme pour le père que je n’ai jamais connu. J’avais de la chance, parce que je savais que beaucoup d’athiens n’avaient jamais connu de père ou de mère, et que moi, j’avais mon Oncle Essaime et ma mère, Ashe.

J’étais un petit enfant trouble. Un môme qui fouttait toujours le trouble partout. Et je me faisais Tapper desus par les plus grands, en me faisant dire d’arrêter de niaiser. Mais il y avait aussi Marvin, le fils de rikku et Kostas. Il était mon ami, et ensemble, nous étions une paire de petits démons. J’énevais les jumelles, Aimé et Mélodie, trop gentilles pour riposter.

Ma vie n’a que débuté. J’ai dix ans, né tout de suite après la guerre. Je suis un petit montre, mais j’ai une famille et des amis qui m’aiment. Finalement, je suis un petit garcon bien chanceux.


Description physique* : Je suis grand pour mon âge, et déjà, mes muscles commencent à parraitre. J’ai hérité des cheveux blonds de mon père, mes yeux sont noisettes. Ma peau est pâle, et mes traits sont fins.

Que dire d’autre, vraiment?

Description Psychologique* : J’aime le trouble, et je me mets souvent dans le chemin des autres. Mais je sais quand arrêter, et je sais être sage. J’aimerais devenir un petit courreur de jupons, et déjà, je me trouves assez charmeur…

Autre : Mon oncle Essaime est mon meilleur ami.


Passe-temps : Espionner les grands, de temps en temps..

Liens familiaux : Ma mère Ashe et mon oncle Essaime

Liens amoureux : J’ai dix ans, voyons!

Rêve : J’en ai pleins, et vous les dire ne serais pas une sage déscision.

Défauts : Tout le monde en a, et je ne crois pas que les miens sont si pires..

Qualités : Je suis un petit charmeur né, et je sais comment avoir ce que je veux…

Autre : Okay


Dernière édition par Nicholas le Lun 27 Avr - 12:31, édité 1 fois
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MessageSujet: Re: Les présentations   Les présentations EmptyLun 27 Avr - 12:28

Bienvenue à toi Nicholas ! Tu es acceptés !
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MessageSujet: Re: Les présentations   Les présentations EmptyLun 27 Avr - 12:48

Personnage prédéfinis* : non

Prénom* : Rose
Nom : Melanson (si vous ne voulez pas de ma colère, prononcer le à l'anglaise...)
Âge* : 28 ans
Sexe* : féminin
Statut* : rebelle
Fonction* : Seconde et guerisseuse

Histoire* :
Avant mes 9 ans, je vivais une vie paisible dans la belle ville qu'étais athen, avec ma famille, sans la connaissance accrue de la vie que je peut dire avoir maintenant... Passons cette étape que certains pourrais dire heureuse de ma vie pour passer tout de suite aux choses importantes.

Donc je disais, à 9 ans, en petite fille calme et solitaire que j'étais, j'aimais déjà particulièrement déambuler dans les bois, et sans m'en rendre compte, apprendre ainsi à me fondre dans le paysage. Par une journée grise d'été parmis tant d'autre, je trouvais sur le sol un petit chiot blessé à la patte, et je sortis de mon petit sac de cuir dont j'étais si fière un pansement et une pomade et commença à le soigner. Quelques minutes après, je sentis un regard qui me fixait le dos. Croyant à l'attaque, je pris le chiot blessé dans mes bras et disparu subitement. Le lendemain cependant, la curieuse petite que j'étais décida de retourner dans le bois. J'y trouvais une épée, une belle épée avec un petit manche adaptée à ma main. Mon instint me dit de ne pas y toucher mais l'envie instinctif que je venais de trouver en l'épée pris le dessus sur lui. Je la pris et je la trouvais lourde.

Quelques jours après, je me retrouvais à nouveau dans se bois à me battre contre des personnages immaginaires qu'étaient devenus pour moi les arbres. Ses pauvres chênes souffrirent amplement de mes coups innexpérimentés de débutante. Et a chaque jour, le regard gris se posait sur moi et je disparaissait en courant. Mais un jour un grand homme m'approcha et je su enfin d'où venait le regard, et je n'eu plus peur, j'admirrais plutôt comment il avait réussi a s'approcher ainsi sans que je le voit. Il me dit alors de le suivre et c'est se que je fis.

C'est ainsi que je découvrais ma véritable famille... Il y avait Myla, avec qui je me sentais en sécurité malgré le fait qu'elle ne soit qu'un ans plus vielle que moi. De tout son être émanait de l'autorité , mais elle n,en abusait pas, et je l'appréciait tout de suite. Un autre que j'appréciait tout de suite beaucoup moins, Taïs, avec ses grands airs de "monsieur je sais me battre et je pourrais tous vous massacrer tout de suite si je le voulais!", l'anémosité était réciproque, même si je l'enviais un peu, personne n'aurais pu le savoir... Il y avait Rikku, qui était une simple fille gentille et respectueuse, et que je ne comprenais pas toujours. Progan, en parler me fait encore pleurer, Progan, si taquin, mais toujours gentil, je devins vite proche de lui, et lui seul compris qui j'étais vraiment. Je savais tout de même que ce n'était que de l'amitié, car il regardait Myla avec des yeux différents qu'il me regardait, et je trouvais leurs jeux de regards complexes et amusants du haut de mes 9 ans.

Je m'échappais de ma maison pour aller les retrouver tout les jours, et chaque soir je rentrais chez moi épuisée et contente de ma journée. C'est pourquoi quand Nick nous dit qu'on partait, j'étais déjà presque détachée de ma famille et je trouvais plus horrible ne plus jamais revoir Nick que mes parents. Je partit donc un matin de la maison comme à mon habitude et ne revins plus... Quand j'y repense maintenant je me dit que c'était horrible de faire ça a mes parents, mais de mes yeux de fillette, c'était tout a fait normal.

Continuant de m'entrainer avec acharnement, et a apprendre dans les gros bouquins de Nick la médecine, je finis par ne plus voir le temps passer. Quand Nick nous annonça que la guerre était passée et que Athen était tombée au mains des babylonois, mon esprit se remplit d'un esprit de vengance qui n'est d'ailleurs jamais parti...

À l'antre, car c'était le nom de ma maison, une armée se forma peu à peu et je recontra pleins de nouveax rebels. Notamment un garçon que je trouvais merveilleux du nom d'Estheban. Je tombis éperdumment en amour avec lui et je perdis notion du temps et de la vie. Il m'aimait, je l'adorais, tout pour le parfait bonheur vous allez me dire... Mais ce n'était pas vraiment le cas.... Un jour, je le vis flirter avec une autre fille, et le lendemain, il me dit qu'il était un meurtrier... Je ne m'en remis jamais, car c'était pour lu iet pour moi le commencement de la fin...
Quelques semaines plus tard, il y eu un mariage, et je devins folle de rage. Comment pouvait-elle oser se marier alors que j'étais en pleins deuil amoureux? Je décidai sur le coup de tous chambouler, et je le fis.
Comme c'était futile et immature... enfin, passons encore.

Ce fut la guerre... " enfin" vous auraient dit plusieurs au début, mais après la mort de plusieurs "frères" et " soeurs", personne n'osait parler. Je me suis battue avec acharnement, et j'ai essayé d'adoucir ma vengeance. J'y suis presque arrivé, mais quand Progan est mort, avec Marvin et puis ensuite Nick je me sentis mourir moi aussi de l'intérieur...
Le plus blessant est le fait que j'aurais pu tous les sauver, si seulement j'avais été plus compétente. Aucun Rebels ne me le fait remarquer, mais parfois je lis dans le regard des gens de la colère envers moi, et cette honte refait surface.
La mort de Nick, autre évenement important... J'essayais en vain de le soigner, mais il perdait son sang de plus en plus, et sa peau balzanée était devenue blanche comme neige. C'est alors qu'il compris qu'il allait mourir, et je vis dans ses yeux plus de determination que jamais. Il me dicta alors son testament. Cependant, le testament d'un grand chef comme lui sort de l'ordinaire. Dans ses dernières minutes de vie, il me souffla d'une voix des plus rauques qu'avant que son fils soit en âge de gouverner, ce serais Myla la chef, et Taïs et moi même les seconds. Ce qui voulait dire qu'avant le retour de Myla, je serais chef. C'est seulement après m'avoir murmuré ses quelques phrases à l'oreille qu'il mouru, l'âme en paix...

C'est quand quelqu'un qu'on aime meurs qu'on se rend compte de toutes les belles choses qui nous entourent. Par exemple, le vert si tendre des premières pousses du printemps, et le bleus si clair du ciel dans une belle journée d'été, car on sait pertinemment que les gens morts ne les veront plus jamais.

C'est pourquoi depuis se temps je m'efforce de bien remplir mon rôle de chef, tout en continuant de soigner les gens quans ils en ont besoins. Et pour tout dire, je m'en sort pas si mal...!

Description physique* : ( j'attend encore de trouver L'avatar parfait...)
Description Psychologique* : On me dit calme et douce, mais si ce n'était que de moi, je me décrirais plutôt bouillante et colèrique, mais ce n'est qu'une facette interieure de moi. La timidité que j'avais enfant c'est développé a force d'essayer d,approcher les gens en persevérance, mais j'aime quand même être seule plutôt qu'entourée de gens.
Autre :

Passe-temps : Lire, soigner, me balader dans les bois, m'entraîner aux armes...
Liens familiaux : Les melanson sont tous morts, et je suis j'imagine la dernière de la lignée...
Liens amoureux : j'essaie de m'en abstenir depuis Estheban, mais j'ai un côté romantique......
Rêve : Je sais que ce n'est pas possible, mais récussiter les morts, car leur absence me pèse.
Défauts : Je suis suseptible, et selon certains c'est un défaut, d'autres une qualité, je suis partout à la fois...
Qualités : Je ne m'en trouve aucune apart peut-être être toujours là pour les autres en cas de besoin.
Autre : Okay


Dernière édition par Rose le Mer 29 Avr - 18:53, édité 4 fois
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Ashe

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MessageSujet: Re: Les présentations   Les présentations EmptyLun 27 Avr - 13:22

Personnage prédéfinis* : Non
Prénom* : Ashe. C'est ainsi que tous doivent l'appeler.
Nom : Shelke
Âge* : 32 ans
Sexe* : féminin
Statut* : Rebelle
Fonction* : Mère s'en est une ? En fait, après la guerre, quand les rebelles ont décidé qu'il était temps de prendre les Orphelins survivant en charge et de devenir leur maître, j'avais déjà mon propre enfant entre les bras.

Histoire* : Un soir grisâtre d’il y a 25 ans, alors que je n’en avais que 7, j’ai le souvenir d’une femme en pleure dans les bras d’un homme qui me pousse à avancer sur le porche d’une maison, à levé la main, à monté sur la pointe de mes pieds pour appuyer sur la sonnette, et à attendre qu’on ouvre la porte. J’ai le souvenir qu’une autre femme est apparue. Plus petite et grassouillette que l’autre qui déjà vient de disparaître derrière d’épais buissons avec son mari. J’ai le souvenir de cette Mme. Shelke si douce et gentille qui m’accueillit à bras ouvert en acceptant de devenir ma mère.

Mais je me souviens aussi ne pas avoir compris avant mes 13 ans. Alors que j’atteignais l’âge de la raison et la maturité des adolescents. Je me souviens avoir enfin saisie dans un éclat de voix et de pleurs que ce couple éploré qui s’était trouvé sous le couvert des arbres avait en fait été mes parents. Je me souviens que ma mère adoptive s’était assise à mes côtés me gardant contre elle en étouffant mes sanglots dans son épaule réconfortante. Je me souviens qu’elle m’avait mot pour mot expliqué que la loi recherchait mes véritables parents, et que jamais après cette soirée de mon adoption on ne les revit.

Mais c’est tout ce dont je me rappelle. Avant cette sombre nuit n’est qu’un trou noir et sans souvenir dans lequel je n’ai pas envie de tomber. Je n’ai en fait pas envie de comprendre. Quel enfant veut savoir la raison de son abandon ? Qui veut comprendre comme deux parents peuvent sans plus de remords forcer leur fillette à sa propre adoption ? Comment ils peuvent ensuite partirent pour ne jamais revenir en ne laissant derrière eux que des larmes pour leur enfant. Personne. Personne ne veut comprendre, savoir, saisir ou connaître les raisons de cela. Personne et surtout pas moi.

De toute façon les voilà qu’ils sont tous morts. Mme Shelke, sa fille, et les deux autres aussi j’imagine. Mes parents on bien du périr avec le reste de la cité. Tout le monde sauf nous. Les rebelles. Exilés comme personne au fin fond de la forêt nous efforçant de travailler nos armes, nos poings et nos aptitudes de combats. Seul et unique combattants Athiens. Les derniers ennemis des Babylonois. Ceux que ceux-ci n’imagine même pas. C’est d’ailleurs sûrement mieux ainsi, étant donné qu’ils auraient pu nous terrasser avant même que nous ayons atteint l’âge de se battre.

Enfin voilà, j’étais rebelle. Petite, frêle, délicate et pacifiste, mais rebelle malgré tout. Jamais je n’ai aimé la guerre, cette idée de tuer des gens pour les empêcher d’en tuer d’autre me répugnait beaucoup. Mais c’était eux ou nous. Et je ne pouvais me résoudre à laisser tous les autres mourir sans que j’eu mis ma main à la pâte pour les aider à triompher. Je ne passais pas beaucoup de temps à l’entrainement, me satisfaisant de mes compétences intermédiaires avancées dans le maniement d’une arme que j’étais la seule à utiliser.

Mon bâton à la main, mes ballerines claquant toujours sur les pavés des chemins qui sillonnaient notre cité de fortune, j’avais l’habitude de rester loin des autres. Je n’étais pas de nature timide mais même si je savais que ma place était auprès d’eux, je crois qu’ils en doutaient. Tant pis, je savais les affronter quand ils me cherchaient et sinon, je m’isolais dans les prairies ou les clairières que dissimulaient l’épais couvert des arbres. Et on m’y laissait. Comme si je n’avais pas besoin de personne. Comme si contrairement aux autres j’avais toujours vécu mieux qu’eux. Comme si je n’avais besoin de personne. En fait ça devait plus être parce que personne n’avait besoin de moi.

Et on me laissait là. Perdue dans les fleurs je jardinais inutilement tout au long des journées, apprenant à aimer les fleurs et à me faire apprécier de la nature. J’avais l’impression qu’elle s’habituait à me voir là. À me savoir sous ses arbres, avec ses douces plantes et ses petits animaux. Et même elle me laissait là. Seule, entrainée et aimante. Ça ne faisait pas beaucoup de sens, et plus le temps passait, plus le mur qui me séparait des autres s’élevait haut. Et ce fut ainsi pendant 5 ans.

De la fin de la guerre jusqu’au début de l’autre je m’entrainai seule et ratissa les parterres de mes champs et de mon cœurs dans une solitude auquel je n’arrivais à m’habituer qu’à moitié. Rebelle aguerrie, jeune fille charmante, il ne manquait plus que quelqu’un hante mon cœur pour que cette mélancolie invraisemblable et supposément inexistante revienne en moi encore une fois.

Ça va de soi, je n’avais jamais connu l’amour pour dire ça. Une fois que j’eus rencontré cet homme je n’aurais plus dit cela quand même bien en rêve. C’était Progan. Un adorable garçon encore bien jeune en esprit. Nous avions l’âge de nous aimer et on ne s’en priva certainement pas. Grand et fort, d’allure mûre et douce, il était en fait un enfant drôle et courailleur. Il complétait bien la petite fleur douce et délicate aux envies rock’n’roll que j’étais. Et nous formions évidemment tout de suite un couple à l’aura puissante.

Puis s’en suivit les épisodes un peu plus durs de nos vies. La guerre bien sûre. Inévitable comme elle était on ne pu passer à côté. Chacun de nous se préparait depuis si longtemps à ça. Tous sauf moi peut-être. Moi qui trouvais cela impensable d’avoir hâte à cette tuerie. Impensable d’avoir fait d’un rêve l’envie de tuer tous ces gens pour une simple réussite. Mais les autres étaient comme ils étaient et je les appréciais tout de même. Ils étaient mes frères et mes sœurs et malgré leur manque de délicatesse envers moi je me donnais à cette bataille pour leur aide. Et on la gagnait.

Mais je trouvais cela presque pire. Cette victoire passa pratiquement inaperçue tant le prix que nous avions payé si durement de la vie de nos amis ne valait pas ce si insignifiant présent. Gagner ne vaut rien quand on y perd tout. Et sans se le cacher, nous avions tout perdu. Nous avions tous perdus. Perdu quelqu’un perdu nous même, nombre d’entre nous étaient mort et c’était irréparable.

Au moins après cela, un lien unique se tissa entre certains. Je me voyais mieux aux côtés des autres. Je me voyais mieux leur prendre la main, les emmener vers moi, ou les laisser me prendre moi, et me porter jusqu’à eux. Mes frères et sœurs devinrent mes amis quand nous compriment que j’aimais autant qu’eux tous ces gens qui avait donné leurs vies pour nous. Quand nous compriment que nous nous étions toujours battus pour la même chose.

Comme tout exemple, alors que, penchée sur le corps de Progan, tentant désespérément de prendre son pou inexistant, Myla elle aussi s’approchait pour vérifier sa vie, ce fut ensemble que nous pleurâmes sa mort. Nous le portâmes jusqu’à l’Antre où l’on enterra selon les règles tous les autres corps sans vie de nos défunts amis. C’est à présent sous le couvert des arbres, avec les douce plantes, les petits animaux, accompagnés de la nature leur amie, que l’on les y a laissé.

Et le temps, étant le temps, il a passé. Pas aussi vite que certains d’entre nous l’aurais voulu, mais pour moi il allait à une vitesse confortable. C’était peut-être parce que je savais qu’il était le seul à décider de l’heure qu’il était que je le pardonnais d’être si lent par moment, et si rapide par d’autre. Mais enfin, voilà dix ans plus tard et je me dis encore entrainée et aimante. Mais jamais plus je l’espère je ne serai seule.

Ma famille est née. Mon fils ce nomme Nicholas, comme mon grand chef s’était appelé avant qu’on ne lui transperce le cœur pour cette inutile victoire de guerre. Mais même si je continue de me dire que c’était trop pour se prix, si la paix n’avait pas été payé de nos armes et de notre sang, la vie aujourd’hui ne serait plus si belle et paisible qu’elle ne l’est. Et c’est avec l’espoir que le temps ne s’arrête pas tout de suite que je continue.


Description physique* : On ne change pas si vite. Même si à présent que je marche en ville avec de fines mais solides bottes longues que j'ai troqué en échange de mes petites et claquantes ballerines, je garde les couleurs que j'avais au paravant. Mon visage rond, mes grand yeux verts-noisettes, mes cheveux longs et bouclés tressé dans mon dos de manière distinctive. Je n'ai guère changer. J'avance toujours d'un beau pas vif, précis, mouvant de grâce et de délicatesse.

Description Psychologique* : C'est toujours aussi délicat de parler de soi ainsi. Je ne pourrais me décrire sans avoir l'air d'une fausse objective, mais je compte pourtant sur le fait que je ne suis plus la même de se côté. Je suis une mère, plus une fiancée. Je suis une femme plus une jeune fille. Je suis une Rebelle plus une jardinière.

Passe-temps : J'ai un fils et j'ai l'impression qu'il pourrait ne jamais dormir. Il demande disons, beaucoup d'attention...

Liens familiaux : Nicholas, le fils de Progan, et son frère, Essaime.

Liens amoureux : Rien. Aucun. Mais je suis une femme. Je reste une femme. Et je suis libre, malgré ma peine.


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Dernière édition par Ashe le Lun 27 Avr - 19:38, édité 1 fois
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MessageSujet: Re: Les présentations   Les présentations EmptyLun 27 Avr - 13:27

Bienvenue parmi nous, Ashe.

Rose, très belle histoire!
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Marvin

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MessageSujet: Re: Les présentations   Les présentations EmptyLun 27 Avr - 15:14

Personnage prédéfinis* : Non
Prénom* : Marvin Noah
Nom : Kostas
Âge* : 10 ans
Sexe* : Masculin
Statut* : enfant de rebelles
Fonction* : enfant pour l'instant

Histoire* : Je me nomme marvin noah kostas bizarre comme nom me direz-vous? Eh bien au contraire, je suis très fier de le porter en l'honneur du meilleur ami de mes parents qui malheureusement est mort. Bon mon histoire maintenant. Mes parents se sont rencontré grâce à marvin et par la suite ils se sont mariés quelques semaines avant la guerre qu'ils m'ont dit.

Part la suite est venu la guerre ou mes parents ont perdus leurs amis(es) et là est venu une période triste pour tous les deux mais ils savaient qu'ils pouvaient chacun compter sur l'autre. Par la suite ma maman est tombé enceinte de moi et elle l'a annoncé à mon père qui en a même pleuré. Dès que mes parents on sut que je serais un petit garçon il savait tout de suite comment m'appeller.

Par la suite après deux années de pur bonheure avec mes parents, ma mère est encore tombée enceinte mais cette fois de jumelle, ces deux petites filles était des anges pour mes parents mais je savais que jamais elles ne pourraient me remplacer et jamais je ne pourrais les remplacer nous étions tous aimés de nos parents.

Dès mes huit ans, mon père m'amène avec lui à la chasse et à la pêche et je l'ai avec son travail. Bien sûr c'est maman qui m'enseigne tout ce que je sais sauf le magniment des armes qui me sont enseignées par papa. Plus je vieillissais, plus j'apprenais la base bien sûr je ne pouvais tenir les épées, trop lourdes pour moi je me contentais de mon lance-pierres.

Maintenant j'ai dix ans et je passe mes journées soit avec mes parents ou avec mon meilleur ami Nicho. Nous passons nos journée à nous battre avec des épées en bois confectionnées par mon père. Habitant proche l'un de l'autre, il ne nous est pas très dur de nous voir et de rigoler. Mais bien sûr souvent mes deux petites pestes de soeurs viennent nous dérenger. Sinon j'adore la vie que je vis et j'espère qu'elle sera toujours aussi belle.

Description physique* : Eh bien je suis blond comme l'était mon père mais j'ai des cheveux plus en batail que lui. De grands yeux bleu comme ceux de ma mère et je suis grand comme mon père l'était à mon âge. Ma mère m'a déjà dit que je ressemblais quelque peu à l'autre marvin mais elle m'a assuré que c'était bien Myron mon père bin quoi je voulais juste être sur. Sinon je ne peux pas dire que je suis fort mes je le serai surement plus tard comme mon père.

Description Psychologique* : Je suis un garçon qui n'est pas très calme, je suis un petit monstre. Ça en prend bien un dans une famille et contrairement à mes deux anges de petites soeurs, je suis un vrai petit démon. Malgré le fait que parfois mes deux soeurs me tombent sur le système, j'aurai toujours un côté protecteur envers elles.

Passe-temps : passer du temps avec nicho, aller à la chasse et à la pêche avec mon père, l'aider dans son boulot et bien sûr passer du temps avec ma mère.

Liens familiaux : je suis le fils de Rikku et Myron kostas et le frère d'Aimé et Mélodie.

Liens amoureux : Beurk non merci


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Dernière édition par Marvin le Lun 27 Avr - 15:20, édité 1 fois
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MessageSujet: Re: Les présentations   Les présentations EmptyLun 27 Avr - 15:20

Bienvenu petit Marvin!
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